Des image, beaucoup d'images, trop d'images. Un mois et demi environ d'images, je ne sais plus par quel bout les prendre, donc voila en vrac:
Concentration au milieu de la foule a Bodhgaya. |
a |
Reunis par pays sous de grandes tentes, les adeptes recitent des mantras |
Tournez moulins |
Mais si, en poussant bien ca rentrera. On peut tenir a une bonne douzaine la-dedans... |
Dans la soiree, quelque soit la ville, des petits feux sont allumes un peu partout, pour tenter de gagner un peu de chaleur. |
Comment ca il est pas frais mon poisson! Tu dis ca parce que t'aimes pas les mouches? |
Ghat de Varanasi |
Sur les ghats, on tape le carton, on "cremationne", on joue au cricket ou au cerf volant... |
Le bois pour les cremations, vendu au kilo, est assez cher. Il faut viser juste. |
Deja un vrai expert en cerf-volant... |
Deux Japonais rencontres dans un resto, tellement degoutes par la crasse, a mi-chemin de leur sejour de 20 jours, ne cessaient de repeter: J'veux rentrer chez moi! |
Homme-femme |
Temple Nepalais |
Puja du soir sur les ghats |
Invitee a ce mariage a Allahabad, je ne pourrais pas rester, en raison du volume de la musique... |
Les escl... heu les porteurs avancent en tenant les lampes |
Un peu le genre a monter sur ses grands chevaux le marie |
La soeur du marie, tres fiere |
La machine infernale qui suit, et fournit dans des gerbes d'etincelles, le courant pour la musique et la lumiere ambulantes |
Allahabad |
Les abeilles ont elu domicile souscette arche |
Quand c'est bonde, tu te retrouves parfois a la place du conducteur, qui continue a tenir le volant du tuk-tuk, et passe les vitesses entre tes jambes. Bon. |
La ou le Gange et ? se rencontrent, les pelerins s'offrent un tour en bateau. Mais ce n'est rien a cote de la Kumba mela a venir, qui accueillera encore des millions et des millions de personnes |
Les toilettes? Tout droit! Oh, c'est occupe. |
A Allahabad, cette Cathedrale est parait-il la plus grande eglise d'Asie. Je serai d'ailleurs conviee a assister a une messe. Tiens, ca faisait longtemps... |
Le linge seche |
Le Taj-Mahal, depuis le roof-top d'un hotel |
Defile de mode |
Ici, on depose elegamment en cercle, les poubelles ramassees avec soin, avant de les livrer aux chiens |
Agra fort |
T'as quoi toi? J'ai un bleu. Oh veinard, moi j'ai un jaune. |
Le plus difficile, pour prendre la moindre photo, c'est de ne pas avoir un pisseur dans le champ! |
L'interieur du fort d'Agra |
Les moines jaunes. ils ont des vilains bonnets... |
Mais ils sont super branches |
L'entree du excessivement cher Taj. (Taj+fort=4 nuits d'hotel!) |
Ha pour le prix, t'as interet a en prendre des photos! |
Pink palace a Jaipur |
A Jaïpur, le même type d'anecdote qu'à Amritsar se reproduit.
Cette fois, je suis dans une famille Jaïn. Pour information, il s'agit
de la secte dont les prêtres se couvrent la bouche d'une légère
pièce de tissu afin de ne pas risquer d'avaler, et donc tuer, un
insecte par mégarde.
Dans cette maison, les souris sont reines, et sachant qu'elles n'ont
rien à craindre, elles se plantent à quelques centimètres de votre
visage pour vous observer en frétillant des moustaches, alors qu'elles
grimpent sur un rideau et que vous êtes assis sur un canapé.
Mon regard étonné amuse toujours beaucoup ma couchsurfeuse.
Le soir, je ferme donc soigneusement la porte de ma chambre, avant de
brancher ma prise anti-moustiques. Et au matin, je la retire et la
range rapidement.
Cette fois, je suis dans une famille Jaïn. Pour information, il s'agit
de la secte dont les prêtres se couvrent la bouche d'une légère
pièce de tissu afin de ne pas risquer d'avaler, et donc tuer, un
insecte par mégarde.
Dans cette maison, les souris sont reines, et sachant qu'elles n'ont
rien à craindre, elles se plantent à quelques centimètres de votre
visage pour vous observer en frétillant des moustaches, alors qu'elles
grimpent sur un rideau et que vous êtes assis sur un canapé.
Mon regard étonné amuse toujours beaucoup ma couchsurfeuse.
Le soir, je ferme donc soigneusement la porte de ma chambre, avant de
brancher ma prise anti-moustiques. Et au matin, je la retire et la
range rapidement.
Mais quelques heures plus tard, elle vient passer un coup de balai
dans la chambre.
Elle s'arrête soudain, et me montre le tas de poussière sur lequel
gisent quelques mouches. Dans son Angalis approximatif, elle
m'interroge:
-Fly. Dead. Why?
-Heu... Ha oui.
Elle insiste.
-Why?
Bien embêtée, je choisis de lui dire la vérité: moustiques, prise...
-Show me, réclame-t-elle.
Je sors la prise et le flacon coupables, et lui montre.
-Come.
Je la suis. Elle prend dans sa chambre l'équivalent de ma prise et
flacon, mais d'une autre marque.
-Good brand!, me déclare-t-elle en montrant mon flacon pour en noter
le nom afin d'acheter le même!
Bon, il est vrai qu'elle n'est pas Jaïn de naissance. Mais je pense
que son mari ne trouve rien à redire. Son histoire est d'ailleurs
intéressante.
Dans pink city |
Elle a épousé par amour, un homme de cette secte alors qu'elle est
d'une famille de Brahmanes, la plus haute caste.
Elle a donc été reniée par sa famille, qui n'a jamais vue et ne
verra sans doute jamais sa fille de 3 ans, bien qu'habitant la même
ville.
Elle souffre beaucoup de cette situation, mais ses parents, surtout
son père, prêtre Brahmane, restent inflexibles.
Heureusement, comme toute femme mariée, elle vit avec sa belle-mère,
avec laquelle elle parait très bien s'entendre.
Ce qui semble être le cas de la plupart des femmes avec lesquelles
j'ai partagé quelques jours et interrogées. "Il faut faire quelques
réglages au début, quelques concessions, et puis ça se met en
place..." Je suis toujours étonnée de cette entente belle-mère/bru,
dans ce quotidien partagé 24/24.
Et ces mariages d'amour, allant à l'encontre des volontés familiales
et sociales, montrent le courage de ces femmes, qui une par une et
petit à petit, par ce genre d'actes individuels font bouger leur
société.
d'une famille de Brahmanes, la plus haute caste.
Elle a donc été reniée par sa famille, qui n'a jamais vue et ne
verra sans doute jamais sa fille de 3 ans, bien qu'habitant la même
ville.
Elle souffre beaucoup de cette situation, mais ses parents, surtout
son père, prêtre Brahmane, restent inflexibles.
Heureusement, comme toute femme mariée, elle vit avec sa belle-mère,
avec laquelle elle parait très bien s'entendre.
Ce qui semble être le cas de la plupart des femmes avec lesquelles
j'ai partagé quelques jours et interrogées. "Il faut faire quelques
réglages au début, quelques concessions, et puis ça se met en
place..." Je suis toujours étonnée de cette entente belle-mère/bru,
dans ce quotidien partagé 24/24.
Et ces mariages d'amour, allant à l'encontre des volontés familiales
et sociales, montrent le courage de ces femmes, qui une par une et
petit à petit, par ce genre d'actes individuels font bouger leur
société.
Encore et encore des cerf-volants... |
C'est deja pas facile de traverser quand on a rien sur les yeux... |
On voit que la Chine se rapproche, l'intimite diminue... Parfois deja plus de petites cloisons... |
Toujours a Jaipur, mais j'ai pas mon pense-bete sur moi... |
Super marche de pieces detachees pour tongs |
Quand on pese les pierres et metaux precieux, ca rigole pas. |
Oh, je suis decue, les vetements de maries decores de billets sont vendus tous faits! |
Y'a meme la derniere de chez Dharti! |
Le palais d'Udaipur |
La veille de Noel, mes couchsurfeurs d'Udaipur me demandent de faire un discours sur Jesus a la fete de l'ecole. Je m'en sortirais avec une chansonnette en Anglais... |
Dans cette ècole d'Udaïpur, présentée par ma couchsurfeuse, une
belle rencontre m'attend. La directrice de son école, maïtre de
reiki, me prend sous son aile le jour de la fête, et nous passons
ensemble une journée extrêmement riche.
Échange de points de vues, de cultures, de savoirs, de ressentis,
d'expériences, une de mes plus belles rencontres Indiennes.
Dans l'ensemble, à l'exception de Rishi et Deepak, ce sont les femmes
avec lesquelles j'ai eu des échanges vraiment intéressants.
Car en règle générale, côté hommes, l'Inde a été franchement
pénible. Harcèlement, ou dans le meilleur des cas, lourdes tentatives
ou propositions systématiques, que ce soit dans la rue, ou chez
certains couchsurfeurs que je tentais pourtant de choisir avec soin.
Il fallait toujours lire entre les lignes des profils, pour trouver
ceux qui n'avaient rien à vendre, du tour en chameau au restaurant du
beau-frère, en passant par l'école en mal de subventions, ou les
bijoux artisanaux...
belle rencontre m'attend. La directrice de son école, maïtre de
reiki, me prend sous son aile le jour de la fête, et nous passons
ensemble une journée extrêmement riche.
Échange de points de vues, de cultures, de savoirs, de ressentis,
d'expériences, une de mes plus belles rencontres Indiennes.
Dans l'ensemble, à l'exception de Rishi et Deepak, ce sont les femmes
avec lesquelles j'ai eu des échanges vraiment intéressants.
Car en règle générale, côté hommes, l'Inde a été franchement
pénible. Harcèlement, ou dans le meilleur des cas, lourdes tentatives
ou propositions systématiques, que ce soit dans la rue, ou chez
certains couchsurfeurs que je tentais pourtant de choisir avec soin.
Il fallait toujours lire entre les lignes des profils, pour trouver
ceux qui n'avaient rien à vendre, du tour en chameau au restaurant du
beau-frère, en passant par l'école en mal de subventions, ou les
bijoux artisanaux...
En plus c'etait tres impressionant, y'avait meme le fils de Mr Bean! |
Contrairement a ce qu'on pourrait croire, Noel est tres fete en Inde. |
Et comme me l'a fait remarquer Alka je crois, ma couchsurfeuse de
Lucknow, journaliste, il vaut parfois mieux pas d'éducation du tout,
qu'un truc un peu bâtard.
Et en effet, à part les désagréments dus aux différences
culturelles, rencontrés dans les trains ou les bus locaux (crachats
incessants, rots en plein dans ton nez de la part de tous, hommes
femmes enfants, bruit, pisse partout, ...), ce ne sont jamais les
hommes pauvres et sans instruction qui harcelaient. Au contraire, ils
ont toujours essayé de me trouver une place pour me caser quelque
part, et ne se sont jamais permis le moindre geste déplacé.
En revanche, dès qu'ils possèdent 3 mots d'Anglais, c'est la pénible
et argumentative proposition assurée.
Et sans m'être jamais sentie de quelque façon en danger, c'était
juste super saoûlant!
Lucknow, journaliste, il vaut parfois mieux pas d'éducation du tout,
qu'un truc un peu bâtard.
Et en effet, à part les désagréments dus aux différences
culturelles, rencontrés dans les trains ou les bus locaux (crachats
incessants, rots en plein dans ton nez de la part de tous, hommes
femmes enfants, bruit, pisse partout, ...), ce ne sont jamais les
hommes pauvres et sans instruction qui harcelaient. Au contraire, ils
ont toujours essayé de me trouver une place pour me caser quelque
part, et ne se sont jamais permis le moindre geste déplacé.
En revanche, dès qu'ils possèdent 3 mots d'Anglais, c'est la pénible
et argumentative proposition assurée.
Et sans m'être jamais sentie de quelque façon en danger, c'était
juste super saoûlant!
Ha y'a d'la datte, mais ce n'est pas la fondante datte d'Iran! Bouhouhou, chuis plus en Iran!!! |
Allez, un dernier petit coup de wagon a besti... a voyageurs |
Le fort de Chittorgarh, 13km de circonference |
La maman de mon cs a Khajuraho |
On visite les temples inspires du Kama-Sutra en famille |
Après Khajuraho, charmant village aux temples magnifiques, mais ou le
harcèlement sexuel bat son plein, du aux scultures tantriques des
temples, je décide de remarcher enfin, pour clore mon séjour sur une
vision différente de l'Inde.
Me trouvant loin de toute ville, je pense pouvoir trouver des chemins
possibles, de villages en villages, en allant vers l'est, en direction
de Calcutta.
Je passe des heures sur Google maps pour concocter mon intinéraire, et
la veille du départ, réorganise tout mon sac, et revisse mes bâtons
avec joie. Tout est prêt pour le départ.
Et alors que je n'ai pas rencontré une goutte de pluie en presque deux
mois, et que la mousson est loin, un orage terrible éclate. Il pleut
toute la nuit et au matin, ça continue.
Mais cette mauvaise surprise n'arrive pas seule. Je me réveille avec,
je ne saurais jamais exactement, une entorse, ou le pouce déboité.
Une douleur atroce, qui ne cesse pas une seconde pendant deux jours et
une nuit, quelque soit ma position.
La veille, un des pots de colle du village, lors de la visite d'un
temple, sous un prétexte stupide, m'avait fait craquer les doigts.
Rien senti de spécial sur le coup.
harcèlement sexuel bat son plein, du aux scultures tantriques des
temples, je décide de remarcher enfin, pour clore mon séjour sur une
vision différente de l'Inde.
Me trouvant loin de toute ville, je pense pouvoir trouver des chemins
possibles, de villages en villages, en allant vers l'est, en direction
de Calcutta.
Je passe des heures sur Google maps pour concocter mon intinéraire, et
la veille du départ, réorganise tout mon sac, et revisse mes bâtons
avec joie. Tout est prêt pour le départ.
Et alors que je n'ai pas rencontré une goutte de pluie en presque deux
mois, et que la mousson est loin, un orage terrible éclate. Il pleut
toute la nuit et au matin, ça continue.
Mais cette mauvaise surprise n'arrive pas seule. Je me réveille avec,
je ne saurais jamais exactement, une entorse, ou le pouce déboité.
Une douleur atroce, qui ne cesse pas une seconde pendant deux jours et
une nuit, quelque soit ma position.
La veille, un des pots de colle du village, lors de la visite d'un
temple, sous un prétexte stupide, m'avait fait craquer les doigts.
Rien senti de spécial sur le coup.
Levis, autre Cs Hongrois rencontre sur place |
Après 24h de douleur non-stop, je vais passer une radio dans une ptite
boutique du village (expérience intéressante), puis, constatant qu'il
n'y a rien de cassé, je réussis à dégoter, aprés de nombreuses
demandes, un rebouteux. Il passera une demi-heure à étudier la
question, tentant d'abotd de légers massages, mais le moindre
effleurement est terrible, et il renoncera sans rien me demander.
Ma main se met à enfler au fil des jours, je décide alors d'annuler
mes projets, et de me rendre à nouveau à Allahabad, d'où je pourrais
consulter un orthopédiste.
Je trouve heureusement un couchsurfeur, avocat, auquel
j'explique la situation, et dont un ami m'accompagne chez un
spécialiste. (Pour info, radios 3€, othop 3€, bandage 5€, à ce
prix là on regrette presque que ce ne soit pas plus grave ;-) )
Je compte rester quelques jours, et sentant que même si ça s'arrange
je risque de ne pouvoir tenir mes bâtons avant un moment, je réserve
un ticket de train pour Calcutta.
Mais je finirais mon séjour Allahabadien dans un hôtel (le genre
comme d'hab à 4€, bien sale, au drap inchangé depuis 3
générations), car mon cs, au moment où il intègre réellement le
fait qu'il ne se passera rien entre nous malgré ses arguments
pathétiques, décide soudain qu'il ne pourra pas m'héberger jusqu'à
mon départ.
Décidément, les avocats Indiens sont un peu particuliers...
Je prends dans la foulée un billet d'avion pour Bangkok, et après
trois jours chez la charmante et exhubérante Chaïtali à Calcutta, je
m'envole pour la deuxième fois.
boutique du village (expérience intéressante), puis, constatant qu'il
n'y a rien de cassé, je réussis à dégoter, aprés de nombreuses
demandes, un rebouteux. Il passera une demi-heure à étudier la
question, tentant d'abotd de légers massages, mais le moindre
effleurement est terrible, et il renoncera sans rien me demander.
Ma main se met à enfler au fil des jours, je décide alors d'annuler
mes projets, et de me rendre à nouveau à Allahabad, d'où je pourrais
consulter un orthopédiste.
Je trouve heureusement un couchsurfeur, avocat, auquel
j'explique la situation, et dont un ami m'accompagne chez un
spécialiste. (Pour info, radios 3€, othop 3€, bandage 5€, à ce
prix là on regrette presque que ce ne soit pas plus grave ;-) )
Je compte rester quelques jours, et sentant que même si ça s'arrange
je risque de ne pouvoir tenir mes bâtons avant un moment, je réserve
un ticket de train pour Calcutta.
Mais je finirais mon séjour Allahabadien dans un hôtel (le genre
comme d'hab à 4€, bien sale, au drap inchangé depuis 3
générations), car mon cs, au moment où il intègre réellement le
fait qu'il ne se passera rien entre nous malgré ses arguments
pathétiques, décide soudain qu'il ne pourra pas m'héberger jusqu'à
mon départ.
Décidément, les avocats Indiens sont un peu particuliers...
Je prends dans la foulée un billet d'avion pour Bangkok, et après
trois jours chez la charmante et exhubérante Chaïtali à Calcutta, je
m'envole pour la deuxième fois.
Le marche aux legumes. Ca fait envie non? |
Pas un peu grand le velo? |
Mais non, ca se porte comme ca! |
Embouteillage d'elephants |
Arbre de Karma |
Oh la bonne douche qui m'attend! |
Et toi, t'as interet a bien faire ton boulot, et a me bouffer tous les moustiques! |
Ca, c'est super bon quand ils viennent de les faire. |
Ces deux jeunes filles rencontrees dans la rue, m'ont aidee a faire quelques emplettes, que j'ai envoyees dans un colis cousu main. |
Pas un peu charge le velo? Meuh non! |
Ha, pour y avoir du chien, y'a du chien! Du vivant, du ecrase, tout ce qu'on veut. (ceux la ce sont les vivants, je vous fais grace des ecrases) |
Un couple d'Indiens vivant au Canada m'ont aidee lors de l'achat de mon billet pour... la Thailande! |
Et a Calcutta, je serai heureusement accueillie par Chaitali, dans sa turbulente famille |
Chaitali dans son carosse, se rend a une fete de famille... |
Calcutta, ma derniere halte Indienne. |
Ha oui? |
Ha oui. |
Petite parenthèse: lors de mes déambulations dans Calcutta, j'assiste
à plusieurs manifestations, dont une avec des panneaux disant "Rendez-
nous nos enfants!". Je demande à Chaitali ce qu'il en est. Elle me
l'explique, et me demande si je peux mettre un lien dans mon blog pour
information. Voici donc les liens qu'elle m'a fait parvenir:
http://www.ndtv.com/article/india/indian-couples-children-taken-away-by-norway-authorities-160375
http://www.norwaynews.com/en/~view.php?72W2554ON94827x285Rkl844WJ2885Wf76GBh353K9Y8
à plusieurs manifestations, dont une avec des panneaux disant "Rendez-
nous nos enfants!". Je demande à Chaitali ce qu'il en est. Elle me
l'explique, et me demande si je peux mettre un lien dans mon blog pour
information. Voici donc les liens qu'elle m'a fait parvenir:
http://www.ndtv.com/article/india/indian-couples-children-taken-away-by-norway-authorities-160375
http://www.norwaynews.com/en/~view.php?72W2554ON94827x285Rkl844WJ2885Wf76GBh353K9Y8
Victoria memorial |
Je voulais voler directement vers Chiang maï, ce qui me
permettais de marcher vers le Laos, et gagner progressivement la
Chine. Mais tous les vols passent par Bangkok. Donc autant visiter...
Et encaissant enfin le contre-coup de la fatigue provoquée par un pays
éprouvant, je passe finalement quelques jours de farniente quasi total
sur une île Thaïlandaise!
Dès mon arrivée en Thaïlande, j'ai été littérallement sous le
choc, de la propreté et du calme. Même à Bangkok, c'est dire!
Les hommes te foutent une paix royale, personne ne klaxonne, il y a
des poubelles, les gens sont polis, et rien que de les voir attendre
pour monter dans le métro que les autres en descendent, j'avais envie
de pleurer et d'embrasser tout le monde!
Bref, il me fallait absolument des vacances ;-)
permettais de marcher vers le Laos, et gagner progressivement la
Chine. Mais tous les vols passent par Bangkok. Donc autant visiter...
Et encaissant enfin le contre-coup de la fatigue provoquée par un pays
éprouvant, je passe finalement quelques jours de farniente quasi total
sur une île Thaïlandaise!
Dès mon arrivée en Thaïlande, j'ai été littérallement sous le
choc, de la propreté et du calme. Même à Bangkok, c'est dire!
Les hommes te foutent une paix royale, personne ne klaxonne, il y a
des poubelles, les gens sont polis, et rien que de les voir attendre
pour monter dans le métro que les autres en descendent, j'avais envie
de pleurer et d'embrasser tout le monde!
Bref, il me fallait absolument des vacances ;-)
Autour des temples, couleurs pour pujas |
Dechargement des banaes dans le centre |
Et grossistes en oranges. Sur tout un quartier, ce ne sont que rues couvertes d'oranges, bananes, et autres fruits |
Eau fraiche dans la rue |
Marche aux fleurs. a force de marcher dans la boue, je n'ai toujours pas reussi a ravoir mes pieds depuis que j'ai quitte l'Inde. Ca la fout mal pour les massages... |
Graveurs de plaques |
J'aime bien les voitures de police |
Le tramway de calcutta |
Un combat desequilibre? |
En avant gout, LA rue super chaude de Bangkok. |
Merci a tous pour vos voeux, mails et commentaires, et de retour dans quelques jours a Bangkok pour feter le nouvel an Chinois, je vous souhaite par anticipation une bonne nouvelle annee Chinoise!
Puis direction le nord de laThailande, et a l'aide de mes petits pieds, le Laos... et la Chine!